Questions fréquentes

Est-ce que vous faites craquer ?

Je le fais lorsque l’examen du patient indique que c’est la meilleure chose à faire. Au début de mon exercice c’était assez fréquent (notamment dans le cadre du suivi sportif) mais avec les années, ces techniques sont de plus en plus souvent remplacées par d’autres, moins invasives, plus pertinentes et offrant des résultats plus stables.

Combien me faudra-t-il de séances ?

Considérant la demande du patient, son état actuel et ses antécédents, la réponse à cette question peut varier beaucoup. Si la prise en charge de la douleur est en général assez rapide, aller chercher le problème à sa racine implique le plus souvent un peu de travail de fond. Il faut parfois rappeler aux patients impatients que si l’on pouvait tout résoudre en une fois ce serait de la magie, pas de l’ostéopathie.

Qu’est-ce que je peux faire à côté des séances ?

Voir la page pratique personnelle.

Que fait mon ostéopathe lorsqu’il « ne fait rien » ?

Certains patients doutent du fait qu’il soit possible d’améliorer leur état si on ne les bouge pas. Pourtant chaque nuit notre corps se restaure alors qu’il bouge très peu. Cela nous rappelle que pendant qu’on ne bouge pas, à l’intérieur de nous-mêmes, « ça bouge ». C’est précisément sur cette capacité d’adaptation que l’on travaille en ostéopathie fondamentale.

Qu’est-ce que l’ostéopathie fondamentale ?

C’est le nom qu’a suggéré Rollin Becker D.O. à son élève Jacques Duval D.O. car cette approche vise à améliorer la physiologie à sa racine.

Pour ce faire, elle emploie une palpation particulière et un regard aigu sur l’embryologie.

Qu’est-ce que ça veut dire, «D.O. » ?

C’est un acronyme signifiant « Diplôme d’Ostéopathie ». Il certifie que les praticiens ont reçu une formation en six ans respectant le cadre légal fixé par la loi n°2002-303. On voit plus fréquemment « D.E. » pour d’autres professions, ce qui signifie « Diplôme d’État ».